Archive for ◊ mars, 2017 ◊

• mardi 28 mars 2017

Un braconnier de retour d’Afrique se fait arrêter à la douane.
Le douanier lui demande :
« Qu’avez-vous à déclarer ?
– Quelques animaux inoffensifs, répond le braconnier… En tout vous pourrez compter seulement 7 têtes et 28 pattes ! »

Quelle surprise !
Les douaniers ouvrent la valise et découvrent serpents, mygales et crabes araignées géants !

Sachant que les mygales ont huit pattes, que les crabes araignées ont dix pattes et que les serpents n’ont pas de pattes, trouvez le nombre d’animaux de chaque sorte.

Sans titre 1

 

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Pour mire la proposition de Diana et d’Ivy, cliquez ici.

 

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• mardi 28 mars 2017

Les ateliers de philosophie pour construire la pensée, le langage et la culture.

 
« On va faire de la philosophie : on va apprendre à réfléchir sur des questions importantes pour tous les hommes.
– Il n’y a pas une bonne réponse mais plusieurs réponses possibles.
– On va apprendre à réfléchir : on va prendre le temps de penser dans sa tête, tout en écoutant les autres.
– On peut penser tout seul, mais parfois les idées des autres peuvent nous aider.
– On dit son idée quand on est prêt à la dire, on n’est pas pressé.
– Tout le monde n’est pas obligé de prendre la parole.
– La réflexion peut se faire sans parler. »
 
La violence ne résout pas tout.
La violence, c’est méchant. La non-violence, c’est gentil.
La violence, c’est quand on fait mal à quelqu’un.
La violence, ça fait mal.
La violence, c’est quand on tape quelqu’un.
La violence, ça peut finir jusqu’à la mort.
La violence, c’est quand on s’entend mal. La non-violence, c’est quand on s’entend bien.
La violence, ça peut être des mots méchants. La non-violence, c’est gentil.
La violence, c’est quand on se bagarre.
La violence, c’est comme le harcèlement.
La violence, ça se finit mal.
La non-violence, c’est ne pas frapper les gens même si on est énervé contre eux.
La non-violence, c’est positif.
La non-violence, c’est quand on est amis. La violence, c’est quand on est ennemis.
La violence, c’est comme par exemple quand on donne des claques à une sœur ou à un frère.
La non-violence, c’est quand on fait un truc de bien pour quelqu’un.
La violence, c’est quand on est énervé l’un contre l’autre.
La violence, c’est quand deux personnes se disputent.
La non-violence, c’est quand quelqu’un est énervé contre nous et qu’il ne nous fait rien.
La violence, ça se fait souvent en cachette comme le harcèlement.
La violence, c’est quand on dit des méchancetés sur les autres.
La violence, c’est quand on jette des cailloux sur les autres.
 Sans titre 1

Brigitte LABBÉ – Auteur
Michel PUECH – Auteur
Jacques AZAM – Illustrateur

Comment empêcher le conflit de naître quand on sent qu’il va arriver, comment le résoudre quand il est encore tout petit, tout neuf, avant qu’il ne grandisse et pourrisse la vie de tout le monde ?

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• mardi 28 mars 2017

Les ateliers de philosophie pour construire la pensée, le langage et la culture.

 
« On va faire de la philosophie : on va apprendre à réfléchir sur des questions importantes pour tous les hommes.
– Il n’y a pas une bonne réponse mais plusieurs réponses possibles.
– On va apprendre à réfléchir : on va prendre le temps de penser dans sa tête, tout en écoutant les autres.
– On peut penser tout seul, mais parfois les idées des autres peuvent nous aider.
– On dit son idée quand on est prêt à la dire, on n’est pas pressé.
– Tout le monde n’est pas obligé de prendre la parole.
– La réflexion peut se faire sans parler. »
 
 
 

« La vérité, c’est quand on dit tout ce qui est vrai.

– Dire la vérité, c’est dire quelque chose de vrai. Mentir, c’est dire quelque chose de faux.

– Quand quelqu’un demande de garder le secret, il faut dire la vérité.

– C’est mieux de dire la vérité : le mensonge va durer longtemps, mais le jour où l’on saura que c’est toi, tu prendras toute la violence !

– Il faut dire la vérité à son ami, à son papa, sa maman, l’autre ne va pas se moquer.

– Pour moi la vérité c’est plutôt bien. Le mensonge, c’est mal. Il vaut mieux dire la vérité.

– Si tu mens, tu dis quelque chose de faux. Si tu dis vrai, ça t’évitera de mentir.

– Moi, ça dépend de la gravité du mensonge.

– Au bout d’un moment, le mensonge retombe sur toi, alors que la vérité non.

– Quand tu mens, ça fait mal aux autres.

– Sur Internet, tout n’est pas vérité : sur Google, c’est pas forcément juste, mais sur Wikipédia, c’est juste.

– Sur You Tube, je sais que les gens font des trucages avec un fond vert.

– J’ai reçu pendant mes recherches sur Internet, une publicité pour dire dire que j’avais gagné. Ce n’était pas sûr, je n’ai pas cliqué. En plus, c’était à l’école !

– Si la météo fait une erreur, ce n’est pas un mensonge.

– Quand on ment, ça se voit : on baisse les yeux…

– Ça se voit dans les yeux.

– Moi, je rigole quand je mens ! Je ne sais pas mentir.

– Si quelqu’un ment et dit qu’il peut sauter une bosse en snow, il faudra qu’il s’entraîne des heures pour ne pas prendre la honte !

– Si un ami me mentait, ce ne serait plus mon ami.

– Il fallait le dire avant que je m’en rende compte.

– On peut mentir pour plaisanter.

– … Dire qu’il y a un attentat à Grenoble, en fait ce n’est pas vrai…

– … Dire que ta grand-mère est morte, en fait ce n’est pas vrai…  ce sont des gros mensonges !

– Mais on peut mentir pour plaisanter…

– On peut mentir pour faire plaisir : on rit à une blague qui n’est pas drôle, pour son ami.

– On peut mentir pour être méchant.

– On peut mentir pour échapper à une catastrophe…

– … pour éviter de faire ses devoirs !

Pour de vrai et pour de faux

Brigitte LABBÉ – Auteur
Michel PUECH – Auteur
Jacques AZAM – Illustrateur

Faut-il toujours dire la vérité, alors que mentir est parfois bien pratique ? Dans la vie, le mélange du vrai et du faux éveille la curiosité et suscite la réflexion.

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