• vendredi 30 novembre 2018
Le Colisée
Le Colisée de nos jours
A Rome, en Italie, durant l’Antiquité, les Romains ont bâti un grand amphithéâtre pouvant accueillir des dizaines de milliers de spectateurs.
Sa construction dura 12 ans jusqu’en 82 (après JC).
Au centre du Colisée, s’ affrontaient des gladiateurs.
Ces esclaves se battaient entre eux et aussi avec des animaux sauvages (lions d’ Asie,
loups…)
source : Carole Raddato
Les spectateurs levaient le pouce pour laisser en vie le gladiateur valeureux. L’Empereur romain pouvait le gracier.
Carte de l’Italie
Source des images : Wikipedia
Texte collectif et recherches : EF
• mercredi 28 novembre 2018
Le corsaire « Le Grand Coureur »
1.Le Corsaire « Le Grand Coureur »
Est un navire de malheur,
Quand il se met en croisière
Pour aller chasser l’Anglais,
Le vent, la mer et la guerre
Tournent contre le Français.
Refrain
Allons les gars, gai, gai !
Allons les gars, gaiement !
Allons les gars, gai, gai !
Allons les gars gaiement !
2.Il est parti de Lorient
Avec belle mer et bon vent,
Il cinglait bâbord amure,
Naviguant comme un poisson ;
Un grain tombe sur sa mature :
Voilà le corsaire en ponton.
3.Il nous fallut remâter
Et diablement bourlinguer ;
Tandis que l’ouvrage avance
On signale par tribord
Un navire d’apparence
A mantelets de sabord.
4.C’était un Anglais vraiment
A double rangée de dents,
Un marchand de mort subite,
mais le Français n’a pas peur :
Au lieu de prendre la fuite,
Nous le rangeons à l’honneur.
5.Ses boulets pleuvent sur nous,
Nous lui rendons coup pour coup ;
Tandis que la barbe en fume
A nos braves matelots,
Dans un gros bouchon de brume
Nous échappons aussitôt.
6.Pour nous refaire des combats,
Nous avions à nos repas
Des gourganes et du lard rance,
Du vinaigre au lieu du vin,
Le biscuit pourri d’avance
Et du camphre le matin.
7.Nos prises au bout de six mois
ont pu se monter à trois :
Un navire plein de patates
Plus qu’à moitié chaviré,
Un autre plein de savates,
un troisième de fumier.
8.Pour finir ce triste sort,
Nous venons périr au port
Dans cette affreuse misère.
Quand chacun s’est cru perdu,
Chacun, selon sa manière,
S’est sauvé comme il a pu.
Jean Nô
Categorie: Musique
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