• lundi 27 mars 2017

Les ateliers de philosophie pour construire la pensée, le langage et la culture.

 
« On va faire de la philosophie : on va apprendre à réfléchir sur des questions importantes pour tous les hommes.
– Il n’y a pas une bonne réponse mais plusieurs réponses possibles.
– On va apprendre à réfléchir : on va prendre le temps de penser dans sa tête, tout en écoutant les autres.
– On peut penser tout seul, mais parfois les idées des autres peuvent nous aider.
– On dit son idée quand on est prêt à la dire, on n’est pas pressé.
– Tout le monde n’est pas obligé de prendre la parole.
– La réflexion peut se faire sans parler. »
 

« Pour moi il y a deux sortes de handicaps : les blessés et les malades, exemple le sida.

– On est handicapé quand on ne peut bouger une partie de son corps.

– Sur les parkings, il y a des places pour handicapés, et pas pour les personnes…

– … valides ! Les voitures ne doivent pas se mettre à leur place.
– Que signifie GIG sur les voitures ?

– Les handicapés ont des voitures exprès.

– On est handicapé quand on est malade, on prend des médicaments.

– On est handicapé quand on on a une partie du corps qui ne marche plus.

– On est handicapé quand on a un plâtre, des béquilles…
 
– Certaines personnes sont handicapées toute leur vie.

– Les handicapés, on les respecte, il y a des places pour eux. Il y a des jeux olympiques spécialement pour eux : les jeux paralympiques.

– Il y a plusieurs sortes de handicap,  par exemple les aveugles qui ont un chien pour les guider.

– On peut aussi être trisomique.

– Les sourds font la langue des signes pour communiquer. Ils lisent sur les lèvres.

– On peut avoir un fauteuil quand toutes les parties sont paralysées.

– Il y a des handicapés visuels, des handicapés moteur, des mal entendants, des muets…

– Il y a des handicapés qui sont vieux et qu’il faut faire manger.

– Quand on est handicapé, on ne peut plus aller au boulot.

– Les aveugles, pour moi, sont des gens qui ont la mal à la main et qui vont bientôt mourir. (sic)

– A l’hôpital, quelqu’un criait et bougeait les bras. Ça peut faire peur, rendre triste…

– Mon papi est paralysé du côté droit. Il marche avec une canne.

– Quelqu’un handicapé, quelqu’un l’aide.

– Un handicapé peut apporter de l’amitié. »

 
 
 
 
 
Categorie: ateliers philo  | Tags:
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